mercredi 4 janvier 2012
Aucune fermeture mais des travaux à effectuer pour adapter les centrales françaises aux risques sismiques, d’inondation ou d’accident grave. Voilà le bilan des stress-tests effectués par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
Au menu des préconisations : « des forces d’action rapide, (...) des diesels d’ultime secours, (...) des bâtiments bunkerisés ». Au final, une facture de 40 à 50 milliards d’euros pour les 59 réacteurs français.
« L’ASN recommande le chapelet et la pioche », raille le collectif lyonnais Réseau "Sortir du nucléaire". « Si le parc nucléaire français est sûr, pourquoi prévoir des travaux pharaoniques, qui s’avèrent lents, compliqués, et immensément chers ? A contrario, si les centrales ne sont pas sûres, cela signifie que leur vie (des Français, ndlr) est en jeu : dans ce cas, il est urgent d’arrêter les installations », persifflent les anti-nucléaires.
Le collectif raille un rapport « profondément religieux : nous devons espérer que rien ne se passe d’imprévisible d’ici à ce que l’on ait fait les travaux… »
06/07/2019 | Réunion publique sur la piétonnisation de la Presqu’île |
29/01/2019 | Climat : le Grand Lyon épinglé par Greenpeace |
21/09/2018 | Greenpeace se mobilise contre Total |
05/12/2016 | Pic de pollution à Lyon |
05/12/2016 | Hommage aux victimes de la pollution de l’air |
25/11/2016 | Manifestation anti-nucléaire |
03/10/2015 | Lyon a-t-elle la main verte ? |
15/05/2015 | Greenpeace se mobilise contre les pesticides |