jeudi 12 juillet 2012
Le président du Conseil régional, Jean-Jack Queyranne est inquiet pour la poursuite du projet de ligne à haute vitesse entre Lyon et Turin. Le gouvernement français devant faire des économies, le programme pourrait être abandonné.
Il n’en saurait être question pour l’élu rhônalpin. « Depuis le gouvernement Jospin, le projet Lyon – Turin fait l’objet d’un engagement du gouvernement français dans le cadre d’un accord international franco-italien », rappelle le président régional. « Les conclusions de l’enquête publique (...) sont positives pour un ouvrage qui créera activités et emplois. » Sans oublier les « 1,2 million de poids lourds (qui transitent) chaque année par les tunnels du Fréjus et du Mont Blanc » et qu’il s’agit de mettre sur les rails.
Le coût de la partie française est évalué à 11,3 milliards d’euros : 7,7 milliards pour les accès côté français et 3,6 milliards correspondant à la part de la section transfrontalière revenant à la France.
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