Samedi soir contre Strasbourg

L’Asvel et Bleus retrouvent Vincent Collet

En déplacement à Strasbourg, l’Asvel affrontera ce samedi la SIG de Vincent Collet. Séquence retrouvailles pour le nouveau coach alsacien. Un an après son licenciement de Villeurbanne, mais aussi une finale de l’Euro 2011 avec l’équipe de France plus tard, Vincent Collet affronte ce samedi l’Asvel, mais aussi ses internationaux, Tony Parker et Ronny Turiaf.

Une rencontre particulière pour cette 8ème journée de Pro A puisque le sélectionneur de l’équipe de France masculine, Vincent Collet, affronte son homologue de la section féminine, Pierre Vincent. L’occasion pour les Villeurbannais de montrer leur progrès depuis l’ère Collet, mais aussi de faire leurs preuves face au coach des Bleus. « Ce n’est pas rien de jouer face au sélectionneur de l’équipe de France. Tout le monde va être très excité pour ce match », avoue Kim Tillie. « Moi aussi je vais vouloir montrer ce que je peux faire. Je sais qu’il regarde les matches à la télévision, mais en vrai ce n’est pas la même chose. Mon objectif sera au moins de pouvoir intégrer les stages de l’équipe de France. »

Mais plus que des retrouvailles, cette rencontre reste un choc de Pro A. Les Villeurbannais doivent faire oublier leur défaite en Eurocup et surtout tenter de retrouver la bonne dynamique qui leur avait permis de faire plier l’Elan Chalon. Actuellement 10ème de Pro A, l’Asvel n’a pas réalisé un début de saison à la hauteur de sa surexposition médiatique. En quête de victoires, les hommes de Pierre Vincent n’ont plus le droit à l’erreur. « C’est un match très important pour nous. Il faut absolument que l’on gagne pour revenir à un bilan de quatre victoires pour quatre défaites », analyse Kim Tillie. « L’objectif est de finir dans les huit premiers à la fin de la phase aller. C’est important pour l’équipe d’accéder à la Semaine des As. On joue chaque match à 100% ! »

Coup d’envoi de cette rencontre, ce samedi, dès 18h30 sur le parquet du Rhenus Sport de Strasbourg.

Publié le : samedi 26 novembre 2011, par Laureline Coquard