mercredi 28 septembre 2011
Un obstacle majeur a été levé quant à la construction de la ligne ferroviaire à haute vitesse entre Lyon et Turin. La France et l’Italie ont réussi à se mettre d’accord sur le financement de la partie centrale du tunnel. Celle-ci se trouve à cheval sur la frontière mais se situe majoritairement en Italie.
Rome assumera finalement 57,9 % de l’investissement, au lieu de 63 %, selon les informations du quotidien Les Echos. Paris paiera le reste, soit 42,1 %, au lieu de 37 %. Globalement, sur l’ensemble du projet, les contributions de l’Italie et de la France seront ainsi à égalité, a souligné le ministre italien des transports Altero Matteoli, à hauteur de 35 % chacune, les 30 % restants étant financés par l’Union européenne.
Cette décision a fait la joie du conseil régional qui pousse pour que le projet avance. « Avec cet accord indispensable nous avons franchi une étape importante pour le projet », s’est félicitée Bernadette Laclais, vice-présidente en charge des transports. Parallèlement, Nicolas Sarkozy s’était engagé auprès de l’exécutif régional dans une lettre du 6 juillet à lancer l’enquête d’utilité publique avant fin 2011 pour les accès français.
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