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Marathon

Run in Lyon : une première édition en demi-teinte

La bonne nouvelle : le marathon de Lyon est de retour. La moins bonne : malgré les efforts déployés par la ville et les organisateurs ni le nombre de participants ni les performances sportives n’ont été à la hauteur.

« Le marathon de Lyon n’a jamais décollé », reconnaissait Thierry Braillard, adjoint aux sports, en avril dernier. La faute à un positionnement flou entre manifestation familiale et course de performance. Si bien qu’en 2009 l’évènement a dû être annulé faute de combattants et de sponsor. C’est alors que la mairie a décidé de prendre les choses en main. Une nouvelle appellation à consonance anglophone et 60 000 euros de subventions plus tard, on allait voir ce qu’on allait voir. Et on a vu. Run in Lyon, comme il convient désormais de dire, a effectivement ressuscité dimanche le marathon de Lyon. Une belle fête conviviale sous un soleil radieux et 24 °C au mercure. Voilà pour le bon côté des choses.

Le moins bon, se situe au niveau de la participation et des chronos. Si l’objectif global que s’était fixé Thierry Braillard, soit 10 000 participants, a été dépassé au point que certains devaient courir sans dossard, le succès est surtout à mettre au profit des petites distances avec environ 4500 coureurs pour le semi-marathon et autant pour les 10 km. Le marathon quant à lui, n’a pas décollé. Seuls 828 participants ont franchi la ligne d’arrivée, c’est moins que la moitié qu’en 2008, année qui a vu 2298 classés. Lyon se situe donc toujours à des années lumière des épreuves majeures de la discipline en France, où on trouve (loin) derrière l’inévitable marathon de Paris et ses 35 186 participants en 2009, celui de Nice avec 9249 coureurs, du Médoc (7197) et de la Rochelle (6855).

Mauvaise pioche aussi côté performances. Le vainqueur, le Marocain Nourredine Jalal n’a franchi la ligne d’arrivée qu’au bout de 2h30’44’’. La faute à une température estivale, peu propice aux exploits, mais aussi au fait que les coureurs kenyans, que la mairie comptait faire venir à ses frais pour servir de locomotive, n’ont pas pu participer faute de visa. Pour mémoire, en 2008, 5 coureurs (9 en 2007) avaient terminé en dessous des 2h30. Ailleurs en France, les meilleurs chronos se situent régulièrement entre 2h10 et 2h15, le record du monde, établi par l’Éthiopien Haile Gebrselassie en 2008 à Berlin étant de 2h03’59’’.

Gageons néanmoins que Run in Lyon ait pu créer une nouvelle dynamique. Rendez-vous en 2011 pour Run in Lyon 2.

Toutes les photos sont sur : www.facebook.com/lyoninfo

Photo : © lyon-info.fr

Publié le : lundi 4 octobre 2010, par Michael Augustin

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15 commentaires pour cet article


  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 4 octobre 2010 à18:07, par Myrdin

    Cette première édition du Runinlyon est loin d’être une réussite côté organisation. Qui a eu l’idée stupide d’un départ commun pour toute les courses ? Les derniers à partir ont franchi la ligne de départ pas loin de dix minutes après les premiers ce qui a donner un peloton danse jusqu’au...7km là ou le semi et le marathon bifurquait. Il fallait croire que Lyon manquait de place. On ne parlera pas non plus du système de bipage pour avoir son temps, ni sur le mode d’affichage des résultats...
    question organisation, Run in Lyon a beaucoup a apprendre du Lyon Urban Trail !

  • Pas d’accord du tout avec vous. Ayant participé hier, seulement sur le 10 km je l’avoue, mais pour avoir assisté aux arrivées du semi et du marathon, ce fut pour moi une très grande réussite. Ce marathon a pour moi eu son lot de convivialité, de bonne humeur, d’émotion même, en voyant des athlètes jeunes ou plus vieux, ou d’autres avec des handicaps, franchir la ligne, heureux et satisfaits d’avoir réalisé chacun une performance à la hauteur de leurs efforts. Une réussite donc, sous une température agréable et un soleil magnifique. Une belle journée enfin, d’ou j’en suis ressorti le coeur rempli de satisfaction, de voir que le sport est encore un moyen de reunir les classes sociales, les origines culturelles sous un même étendard qu’est la course à pied.
    Et s’il fallait mettre un bémol, je dirais qu’il serait le fait de partir tous ensemble, les 3 courses réunies, sachant que certains sont partis 1/4 d’heure après les premiers. Mais bon, il était facile de se glisser dans les premiers au départ pour ceux qui avaient un peu d’ambition... Et je pense que c’était voulu par les participants, afin de marquer le coup, et d’avoir de très beaux clichés au départ...
    Autre bémol personnel, le système de bipage, je n’ai pas été bipé à l’arrivée, mon amie non plus et un autre ami aussi, donc je n’ai pas mon nom au classement, dommage... mais de la à dire marathon en demi-teinte, c’est largement exagéré...

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 4 octobre 2010 à19:47, par dodo

    bonjour,

    j’ai couru le marathon, quelle tristesse sur le parcours,aucune animation, du côté de Gerland le désert, traverser le stade (vide) à oui on est coureur à pied pas footballeur, aucun spectateur, un parcours dans l’anonymat le plus complet, je parle pour le marathon, on arrive au 35e km fatiguée, il faut slalomé au milieu des passants RUE DE LA RE, les passants n’ont que faire de ses luluberlus qui courent, à l’arrivée pas plus de monde, on nous file une médaille épaisse comme du papier alu, la météo on y peut rien, si l’on veut arriver à un marathon comme LA ROCHELLE ou PARIS. Au boulot ! les ravitos supers

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 4 octobre 2010 à19:55, par chris

    L’organisation reste à désirer sur le fait de faire partir les 3 courses en même temps !! Ce fût un joli "bordel", je plains (en autre) les coureurs de 10 km et les handisports qui galéraient à courir entre ceux qui faisaient le semi ou le marathon. Merci aussi au mauvais accueil d’un kiné qui refusait de prendre en charge des personnes ayant fait le marathon .. sous prétexte que ces coureurs n’avaient pas du douleur ... après un marathon... cette personne a-t-elle déjà couru ou avait-elle simplement faim et envie de rentrer chez elle !!!
    Outre ces points négatifs, il y a quand même du positif : ravitos et ambiance cool.
    En tout cas, ça donne pas forcément envie de venir courir à Lyon, même si la ville et les gens sont sympas.

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 4 octobre 2010 à20:12, par leglouglou

    Personnellement, je suis lyonnais et je n’ai pas couru le marathon parce que le prix du 42 km m’a semblé scandaleusement élevé.... 1 euro le km !?! (à ce prix là, je préfère largement mettre du benzène dans ma voiture)

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 4 octobre 2010 à20:16, par ajajb98

    je viens a mon tour de courir le marathon de lyon et mon avis est très paratagé.
    et je reprendrai les commentaires précédents
    - )pourquoi ne pas séparer les course en décallant le tout sur 30 min, et en faisant partir le marathon a 8h30 ?Marcher au bout de 5km parce que la rue est un goulet est très agaçant
    - ) quel est l’intérêt d’avoir des meneurs d’allure, sachant que d’une part ils ne sont pas visibles, tous les mêmes ballons et pas d’heure indiqué dessus, et que d’autre part ils se placent sur la ligne de départ et sont donc insuivables !
    - ) Lyon n’est pas une ville de sportif, je ne vais pas me faire que des amis, mais celà se vérifie sur le parcours : aucune ambiance, aucun groupe musical, et aucun respect des coureurs avec des familles qui traversent devant vous ou occupent tous les trottoirs
    - ) et enfin, les derniers sur marathon ont autant voire plus de méritent que les meilleurs ; sachant qu’à partir du 30eme KM il n’y avait plus d’eau, je trouve celà très limite...comme la disparition non prévu du ravitaillement du 35km
    - )hormis les aller-retour sur certaines portions le parcours est très agréable...et LYON reste une ville magnifique
    Bref, si lyon veut acquérir une identité pour SON marathon, il y a des choses élémentaires à revoir d’urgence en redonner toute sa place aux coureurs .Avec des marathons aussi prestigieux que berlin, NY fin oct ou nice debut novembre, la concurrence est très très rude

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 5 octobre 2010 à10:39, par laurent

    bonjour ,

    lettre pour les organisateurs de " Run in Lyon"

    11 000 personnes ,une température estivale..... tous les ingrédients pour faire de ces courses une belle fête..... mais mahleureusement une organisation qui n’a pas été à la hauteur..... j’ai fait moi même , le semi marathon en 1h56 mm à ma montre... votre classement m’annonce un temps en 2h05 mm ; je suis passé en fait 9 mm aprés le départ officiel sur la ligne de départ.. ma puce n’a pas fonctionné... alors que vous nous aviez annoncé....le contraire...

    La veille déja lors du retrait du dossard : à 15 h30 , vous n’aviez pu ma taille de tee shirt : L : rupture !!!! 45 mm pour pour prendre en plus son dossard et son tee shirt 2 fois trop grand !!!! des problémes déja de gestion de la foule...

    ensuite.... pourquoi tout le monde le lendemain part en même temps..... pourquoi ne pas avoir fait le départ du marathon à 8h30 , le semi marathon à 9h00 et enfin le 10 kms à 9h30......
    la conséquence , bouchons, piétinements, risques de chutes et de de blessures, stress évident = no plaisir pendant les 10 premiers kms....

    lors de mon premier passage le long des quais de saone , on a du s’arrêter et se mettre de côté pour laisser passer les motos annoncant le 1 er de la course des 10 kms... INCROYABLE !!!!!!!!!! , ensuite des membres de l’organisation perdus , qui ne savaient plus faire la différence entre les coureurs du 10 kms , du semi et du marathon, pour indiquer le chemin à prendre.....une belle pagaille !!!!

    à l’arrivée... aprés avoir passé la ligne ,déshydratés par l’effort intense, nous sommes restés 15 mm stockés dans un couloir de barriéres.... pour attendre.... que l’on remette une bouteille de powerade.... pourquoi, ne pas avoir distribué ces bouteilles le long du couloir....

    un rappel, messieurs les organisateurs : j’ai payé 26.00 euro mon inscription.... pour un tee shirt que je ne peux pas mettre et surtout un chrono incorrecte !!!! certes j’ai , je vous l’envoue.. consommé 4 verres d’eau sur le parcours !!!

    mais face à ce bilan , l’année prochaine.... car je l’admet, j’ai pris néanmoins du plaisir sur ce beau parcours et sous ce beau soleil..... je reviendrais.... mais sans payer mon inscription....car j’ai des tee shirts dans mon armoire à ma taille et surtout une montre qui me donne le temps exact de ma perdormmance......
    je reviendrais donc simplement pour le plaisir de courrir, sans dossard !!!

    prenez exemple sur l’organisation du trail urban de lyon..

    sportivement
    laurent

  • Bonjour,

    J’ai participé au marathon de Run in lyon et j’ai quelques remarques et suggestions sur l’évènement.

    Tout d’abord, il était fortement conseillé (à juste titre) d’utiliser les transports en commun pour venir le jour de la course. Sauf que les parkings relais de Gorges du loup étaient fermés !! S’il vous plait un peu de bon sens n’envoyez pas des dizaine voir des centaines de participant dans le mur (ou plutôt dans les grilles du parking...).

    Je trouve que pour un marathon la dotation du coureur est un peu légère. Le tee-shirt est bien, par contre la boisson énergétique (bourrée de caféine !) n’est pas bien vue. Ce type de boisson est peu recommandée pour un effort tel que le marathon. Aucune pasta party n’était prévue (alors que c’est classique la veille d’un marathon) un sachet de pate aurait été un petit clin d’oeil à cet oubli.

    Le départ groupé est certes très médiatique... Mais je me suis senti d’un seul coup très très seul au 18km quand les paricipants au semi nous ont quitté. J’ai le sentiment que ce départ groupé a masqué un manque cruel de participant sur le marathon, 1 petit millier c’est peu, très peu pour un marathon. Quand en plus ce millier de participants s’étire sur plus d’une quaizaine de kilomètre on se sent très seul dans l’effort.

    Sur le parcourt, à part sur la place bellecourt aucune animation n’était prévue. Ni fanfare ni banderole d’encouragement rien quoi ! encore une fois on se sent bien seul tout au fond de Gerland alors que l’on arrive sur le fameux mur du trentième kilomètre. Pour la prochaine fois, essayez au moins d’attirer du public dans les zones les plus éloignées du parcourt, là ou les participants ont le plus besoin d’être encouragés.

    Le parcourt en lui-même est bien, même si la fin est une torture puisque grosso modo on passe 3 ou 4 fois à moins de 100m du panneau arrivé alors qu’il reste plusieurs kilomètres à faire.

    Dernière remarque, pour la tente kiné... Je suis arrivé au bout de 4h25 d’effort. Je pensais naivement que je pourrai bénéficier d’un petit massage salvateur. Eh bien non, plusieurs participants dont je faisais partie ont été acceuilli assez sèchement par un "si vous avez mal partout, prenez un bon bain et une aspirine, ici on ne s’occupe que des douleurs très localisées..." C’est un peu dur vous ne trouvez pas ? si ca embête les kiné de bosser à l’oeil juste une demi journée alors il ne faut pas venir du tout !
    Heureusement que ma famille était là pour le réconfort sinon cette tirade m’aurait achevée !!

    Pour finir, je dois avouer que si le nombre de participants au marathon de dépasse pas 4 ou 5000 en 2011 ne le referait pas. Je choisirait sans doute Marseilles ou Paris où le parcourt est également en ville mais ou il y a vraiment du monde à courrir et à regarder courrir...

    sportivement
    Eric

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 5 octobre 2010 à17:16, par toto

    Bonjour,

    Je ne vais pas revenir sur le départ grotesque dù à une trop grande concentration de coureurs dans une zone qui s’est avérée être exigüe, ni l’arrivée, notamment du 10kms, où ceux qui terminaient leur course étaient gênés par les autres à mi-parcours...
    Au-delà de ce problème à mettre sur le compte d’une première, il en est un qui agasse je suppose tous ceux qui se sont chronomètrés : le classement et les temps. C’est du grand N’IMPORTE QUOI !!! En ce qui me concerne, j’ai moins à ma montre, et là vous n’êtes pas obligé de me croire, non, le plus rigolo c’est que parmi mes collègues de travail, j’ai vu passer l’un d’eux à l’arrivée, avant les autres, lesquels se retrouvent au classement final avant lui avec deux minutes d’avance ! Comment expliquer cela ? c’est n’importe quoi !

    sportivement, Thomas

  • En demi-teinte en effet, c’était mon 1er semi-marathon et j’espérais bien voir les meneurs d’allure, peine perdue.
    Même problème pour le chronométrage, 6 minutes d’écart à l’arrivée, je passe de 1h56 à 2h02, dommage ...
    Le parcours était par contre agréable.
    Je voulais m’entrainer pour le marathon, mais franchement celui de Lyon ne donne pas envie, se retrouver seule au fond d’un stade !!!
    Enfin, la participation est chère (1 € le km ...) et n’est pas à la hauteur de l’organisation.
    Et je ne parle même pas du retrait des dossards, se déplacer obligatoirement le samedi, pas de possibilité, ni d’envoi ni de retrait le vendredi ...

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 6 octobre 2010 à12:56, par juju

    Bonjour,

    Ayant participé en tant que marathonien je tiens à témoigner sur l’organisation lamentable de cette première édition du run in lyon 2010. Quelle idée pour le moins saugrenue de faire partir pêle mêle les coureurs des 10 , 21 et 42 kilomètres ? .

    Pour mémoire il y a eu plus de 10 000 participants !! je suis parti dans les tréfonds du peloton (je le répète marathon : donc pas de départ en sprint), il se trouvait avec moi des coureurs du 10 kilomètres !!!!!!!!.

    Je me demande même quel était l’intérêt pour ces coureurs de prendre le départ .... Pourquoi faire partir les 3 courses en même temps ? et quand bien même ... pourquoi ne pas positionner les 10 kils en premiers, puis les semis , puis nous les marathoniens ?? c’est incompréhensible.

    La prise de chrono aussi m’a paru suspecte ... à ma montre je finis le marathon en moins de 4H 10 et mon temps officiel est de 4 H 11 ... (je sais je chipotte mais qu’est ce que ça veut dire ? que le chrono a été pris au top départ et non au passage de ligne ? bref ...)

    Je nuance mes propos en parlant maintenant des ravitos qui étaient bien fournis !!! qd même !!

    je finirais par ce qui m’a le plus énervé le jour de l’épreuve : les kinés : non, je ne suis pas le premier arrivé c’est un fait , mais une charmante (cynisme) kiné m’a gentiment envoyé me faire voir chez les grecs en me demandant : "vous avez mal où ? " réponse : aux jambes . "où exactement" réponse "..."

    coup de grace : si vous n’avez pas de douleurs particulières : un bon bain et des aspirines !!!!! . Je pense que cette dame avait hâte de rentrer chez elle (je me répète je n’étais pas le premier) et n’a pas bien compris le but de sa présence ce jour là . Tous les autres coureurs qui se sont fait masser n’avaient pas de douleurs "spécifiques" (j’aurais eu des douleurs particulières je serai aller voir un médecin et pas cette kiné de bas étage !!!!) bref en 1 mot : déception !!! Merci à ceux qui m’ont lu jusqu’au bout. Je ne recommande pas le run in lyon.

  • Pour mon premier marathon, c’est pour moi une superbe journée
    Je ne reviens pas sur les petits tracas déjà cités plus hauts.
    Je préfère retenir le positif, des ravitaillements corrects, un parcours magnifique et le public qui c’est déplacé nous à encouragé tous le long. Merci public.
    Christophe

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 8 octobre 2010 à18:16, par shaolin-meetic-hazbin-all star

    Déçu

    c’est ma 3ème participation au semi marathon. 2006, 2007 et puis j’avais arrêté. Mais là, je fondais des espoirs sur le départ de Bellecour : enfin on allait éviter de passer la ligne de départ 5 ou 10 minutes après le coup de feu.

    mais non ! il a fallu que l’on fasse partir les 3 courses en même temps.

    Ca n’a aucun sens et c’est très décevant

    alors on s’est bousculé, freinés mutuellement, etc - pas passé un bon moment, en somme

    Et ce côté troupeau !

    Parqués - parqués - parqués : parqués le samedi pour récupérer le dossard, parqués le dimanche au départ avec 11 000 coureurs (et contrairement à ce qui est dit plus haut, sans possibilité d’aller se placer vers l’avant du troupeau), parqués à l’arrivée, desséchés, épuisés et 1/4 h pour avoir une bouteille d’eau.

    Donc pas de progrès dans l’organisation, même le bipage à l’arrivée reste toujours aussi laborieux et évidemment le temps affiché est faux.

    Ce n’était pas la fête, donc, et je suis vite rentré chez moi pour retrouver un peu de convivialité avec des amis en terrasse.

    Alors, si ! pour les organisateurs, super ! Tout pour la communication. ils ont créé l’événement avec leurs 11 000 coureurs parqués à Bellecour. Mais les coureurs, eux, ont été les dindons de la farce.

    Ridicule et sans plaisir.

    Fatigant, quoi.

  • bonjour

    je viens de faire ce week-end le marathon de Paris, et quel plaisir de voir les gens au bord de la route vous appeler par votre prénom et vous encourager !!! Rien a voir avec les marathons précédents que j’ai pu faire a Lyon ( au nombre de 4)ou si on ne fini pas sous les 4h30, on est seul au monde...dommage car la ville a le potentiel de faire quelques chose de bien...encore faut il que les décideurs sache se remettre en questions.

  • Run in Lyon : une première édition en demi-teinte 10 septembre 2012 à14:00, par Nanou 01

    Bonjour,
    Domage, j’étais sur le point de m’inscrire pour le 10km ou le semi marathon.
    Et bien, après avoir lu tous ses commentaires, on plus envie de se décarcasser !
    En plus, je suis seule à m’y rendre et seule pour faire tous ces km. Mais j’aime courir alors tant pis. Cela doit faire 3 ans que je me dis de faire une course au run on, alors je me décide, j’y vais.
    J’ai connaissance de tous les desagréments, c’est sympa de nous mettre au courant, jevous en remercie, comme ça on sait à quoi s’en tenir.
    A bientôt peut-être la-bas.
    Anne-Flore.

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