Malgré ces prises rapides, Jean-Marc Rebouillat, chef de la Sécurité départementale du Rhône reste "très prudent" quant à l’avancée de l’enquête : « Ils ne vont pas nous livrer les noms (des coupables, ndlr) sur un plateau. » Il espère néanmoins que le « côté émotionnel » de l’affaire, fera que des langues se délient « assez vite ». Quant à l’utilisation d’armes de guerre dans ce quartier de Lyon, il hausse les épaules : « On ne tombe pas de l’armoire, on sait qu’il y en a. » Avant de relativiser : « C’est leur utilisation dans ce contexte qui est surprenant. »